Schlussbericht
(Deutsch)
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Die Studie „Energieeffizientes Bauen- Defizite in der Hochschulausbildung“ soll Wege aufzeigen, wie die Hochschulausbildung verändert werden könnte, um die Kompetenz der Hochschulabgänger bezüglich „Energie im Bau“ zu erhöhen. Die Analysen zeigen:
In allen Grundstudien der Bereiche Architektur, HLKS, Bau-, und Maschineningenieurwesen wird Energie- Effizienz in einer erheblichen Anzahl Ausbildungsstunden thematisiert. Eine Erhöhung müsste auf Kosten anderer Fächer erfolgen.
Das Studium vermittelt den Hochschul-Abgänger genügend Wissen, um die Anforderungen der Bauherrschaft und die gesetzlich vorgegebenen energetischen Mindestanforderungen in einem Projekt erfüllen zu können. Die vom Gesetz geforderte Berufsbefähigung scheint also erreicht zu werden.
Detailwissen zu speziell energieeffizienten Lösungen und Systemen ist Spezialwissen und wird in den Unternehmen (Training on the Job), im Zweitabschluss (Master) oder in der Weiterbildung erworben.
Die Hochschulabgänger wären in der Lage, energetisch effizientere Gebäude zu bauen, wenn dies von der Bauherrschaft gefordert würde.
Die primären Anforderungen der Bauherren an ein Gebäude sind Funktionalität, Komfort, Ästhetik, finanzieller Rahmen und der Bezug des Gebäudes zur Umgebung (Städtebau). Eine höhere Qualität bezüglich Sozialverträglichkeit und Ökologie wird dann begrüsst, wenn sie das Resultat bezüglich der primären Anforderungen verbessert oder zumindest nicht verschlechtert.
Eine zentrale Rolle bei der energetischen Qualität eines Gebäudes spielt die interdisziplinäre Zusammensetzung des Planungsteams sowie die Qualität seiner Mitglieder. Je höher die Reputation einer Fachperson ist, umso eher werden ihre Vorschläge im Planungs-Team angenommen, d.h. das gleiche Wissen erzeugt je nach Absender eine unterschiedliche Wirkung.
Die heutigen Weiterbildungsangebote auf Hochschulebene sind eher auf Personen unter 40 ausgerichtet. Ein bedürfnisgerecht auf erfahrene Berufsleute ausgerichtetes Angebot fehlt heute weitgehend.
Das Bundesamt für Energie (BFE) kann auf dem Verordnungsweg nicht in die Aus- und Weiterbildungsinhalte der Fachhochschulen und der ETH eingreifen.
Schlussfolgerungen: Aus den Analyseergebnissen können verschiedene Erfolg versprechende Massnahmen abgeleitet werden, mit denen das BFE einen positiven Beitrag zu den Aus- und Weiterbildungsinhalten leisten kann. Die Massnahmen müssen so ausgestaltet sein, dass sie einen Beitrag zur Zielerreichung desjenigen Akteurs leisten, der die Massnahme durchführen soll und sie müssen gleichzeitig die Ziele des BFE unterstützen.
Energetisch bessere Bauten können erreicht werden:
- wenn Haustechnik-Fachleute fähig sind, mit energieeffizienten Lösungen die primären Projektanforderungen
der Bauherrschaft besser zu erfüllen;
- wenn Bauherren fähig sind, die besten Planungsteams zu ermitteln;
- wenn im Planungsteam unter Berücksichtigung der Hierarchien interdisziplinär gearbeitet wird.
Die Energie-Forschung soll sich stärker mit den primären Anforderungen der Bauherrschaft auseinander setzen und die BFE-Forschungsprogramme sollen sich stärker an den vom ETH-Rat formulieren Schlüsselthemen ausrichten.
Architekten sollten die Haustechnik-Fachleute identifizieren können, welche durch ihre Kompetenzen energieeffiziente Lösungen entwickeln, die auch einen Beitrag zur Erfüllung der primären Projektanforderungen leisten.
In der Weiterbildung soll das Thema, wie man unter Berücksichtigung der Vorzugstellung des Leiters in inter- und transdisziplinären Teams arbeitet und gemeinsam Ziele erreicht, vermehrt geschult werden.
Es wird empfohlen, ein Weiterbildungsprogramm für über 40-jährige Fachleute (Architekten, Haustechniker) mit hohem Ansehen und einem überdurchschnittlichen Leistungsausweis bezüglich den primären Projektanforderungen zu entwickeln.
Es wird angeregt, die bestehenden Weiterbildungsangebote so zu überarbeiten, dass deren Absolventen in ihrem Beruf direkt durch eine lohnwirksame Beförderung profitieren können (Weiterbildungsrendite).
Auftragnehmer/Contractant/Contraente/Contractor: K.M. Marketing AG Zürcher Hochschule Winterthur, Zentrum Sustainability
Autorschaft/Auteurs/Autori/Authors: Lang,Thomas Kunz,Markus Messmer,Ruedi
Zugehörige Dokumente
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Schlussbericht
(Französisch)
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L'étude «Construire de façon énergétiquement efficace – Lacunes dans la formation des hautes écoles» donne des pistes montrant comment la formation dispensée dans les hautes écoles pourrait être modifiée afin d'augmenter les compétences des diplômés en matière d'énergie dans le bâtiment. Les analyses ont abouti aux constatations suivantes:
Un grand nombre d'heures de formation sont consacrées à l'efficacité énergétique dans toutes les formations de base en architecture, chauffage, ventilation, climatisation, installations sanitaires, ingénierie de la construction et ingénierie des machines. La dotation horaire consacrée à cette problématique ne pourrait être augmentée qu'au détriment d'autres branches.
Les hautes écoles transmettent à leurs étudiants des connaissances suffisantes pour répondre aux demandes des maîtres d'ouvrage et pour respecter les exigences légales minimales sur le plan énergétique dans un projet. Le niveau de qualification professionnelle requis par la loi semble donc avoir été atteint.
Les connaissances approfondies des solutions et des systèmes énergétiquement efficaces constituent un savoir spécialisé qui s'acquiert dans l'entreprise (formation sur le lieu de travail), avec un deuxième diplôme (master) ou par la formation continue.
Les étudiants diplômés des hautes écoles seraient capables de construire des bâtiments plus efficients sur le plan énergétique si les maîtres d'ouvrage le demandaient.
Les demandes des maîtres d'ouvrage relatives aux bâtiments concernent avant tout la fonctionnalité, le confort, l'esthétique, l'aspect financier et l'intégration du bâtiment dans son environnement (urbanisme). Une meilleure compatibilité sociale et une composante écologique sont bien accueillies lorsqu'elles améliorent le projet en ce qui concerne les demandes prioritaires ou, à tout le moins, ne leur nuisent pas.
La composition interdisciplinaire de l’équipe de planification ainsi que la qualité de ses membres jouent un rôle central pour l'efficacité énergétique d'un bâtiment. Plus un spécialiste est renommé, plus ses propositions seront retenues par l'équipe de planification. En d'autres termes, selon la personne qui fait des suggestions, les mêmes connaissances ne produisent pas les mêmes effets.
Les offres de formation continue des hautes écoles s'adressent actuellement plutôt aux personnes de moins de 40 ans. Il n'existe aujourd'hui pratiquement pas de formations adaptées aux besoins des professionnels expérimentés.
L'Office fédéral de l'énergie (OFEN) ne peut pas influencer par voie d'ordonnance le contenu de la formation et de la formation continue dans les hautes écoles spécialisées et dans les écoles polytechniques fédérales.
Conclusions : Ces constatations mènent à diverses mesures prometteuses pouvant permettre à l'OFEN d'apporter une contribution constructive au cursus de formation et de formation continue. Ces mesures doivent d'une part être conçues de manière à aider les personnes chargées de les appliquer à atteindre leurs buts et, d'autre part, soutenir les objectifs de l'OFEN.
Il est possible de construire des bâtiments ayant un meilleur rendement énergétique
- lorsque les spécialistes en technique du bâtiment sont capables de mieux répondre aux demandes prioritaires des maîtres d'ouvrage avec des solutions énergétiquement efficaces;
- lorsque les maîtres d'ouvrage peuvent trouver d'excellentes équipes de planification;
- lorsque l'équipe de planification travaille avec une approche interdisciplinaire tout en tenant compte des hiérarchies.
La recherche dans le domaine de l'énergie doit plus s'orienter sur les demandes prioritaires des maîtres d'ouvrage et les programmes de recherche de l'OFEN doivent se consacrer davantage aux thèmes-clés énoncés par le Conseil des écoles polytechniques fédérales.
Les architectes doivent pouvoir identifier les spécialistes en technique du bâtiment qui ont les compétences requises pour proposer des solutions efficientes sur le plan énergétique tout en contribuant à répondre aux exigences prioritaires du projet.
La formation continue doit plus enseigner comment, sous l’impulsion du chef de projet, un travail d'équipe inter- et pluridisciplinaire permet d'atteindre ensemble des objectifs.
L'étude recommande d'élaborer un programme de formation continue destiné aux spécialistes (architectes, techniciens en bâtiment) âgés de plus de 40 ans, jouissant d'une excellente réputation et réalisant des performances supérieures à la moyenne en ce qui concerne les exigences prioritaires des projets.
Les analyses suggèrent de remanier les offres de formation continue actuelles de manière à ce que les personnes ayant suivi des cours de perfectionnement en retirent directement des avantages financiers dans leur profession (rendement de la formation continue).
Auftragnehmer/Contractant/Contraente/Contractor: K.M. Marketing AG Zürcher Hochschule Winterthur, Zentrum Sustainability
Autorschaft/Auteurs/Autori/Authors: Lang,Thomas Kunz,Markus Messmer,Ruedi
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