Mots-clé
(Allemand)
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Plattform; Digitalisierung; Geschäftsmodelle; Sozialversicherungen
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Mots-clé
(Français)
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Plateforme; numérisation; modèles d'affaires; assurances sociales
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Description succincte
(Allemand)
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Im November 2017 hat der Bundesrat das Bundesamt für Sozialversicherungen (BSV) beauftragt, in Zusammenarbeit mit den Ämtern anderer betroffener Departemente den Flexibilisierungsbedarf im Sozialversicherungsrecht zu prüfen, verschiedene Vereinfachungsoptionen zu evaluieren und ihm diesbezüglich einen Bericht zu unterbreiten.
Zur Vertiefung der Analysen für diesen Bericht hat das BSV diese Studie bestellt.
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Description succincte
(Français)
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En novembre 2017, le Conseil fédéral a chargé l’OFAS, en collaboration avec les offices d’autres départements concernés, d’examiner la nécessité d’assouplir le droit des assurances sociales, d’évaluer diverses options de simplification et de lui soumettre un rapport à ce sujet.
Pour approfondir les analyses en vue de ce rapport, l’OFAS a commandé cette étude.
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Objectifs du projet
(Allemand)
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Ziel war es, die Funktionsweise mehrerer innovativer Geschäftsmodelle der Plattformökonomie zu untersuchen, die derzeit in der Schweiz entstehen. Dabei ging es darum, die von diesen Plattformen angebotenen Anstellungsformen zu beschreiben und zu prüfen, ob sozialversicherungsrechtliche Bestimmungen die Ausbreitung dieser Art von Unternehmen beeinflussen. Dazu wurden insbesondere Plattformbetreibende befragt.
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Objectifs du projet
(Français)
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L'objectif consistait à examiner le fonctionnement de plusieurs modèles d’affaires innovants de l’économie de plateforme se développant actuellement en Suisse. Il s'agissait de décrire les formes d’emploi pratiquées par ces plateformes et à examiner si des dispositions du droit des assurances sociales influent sur l’expansion de ce type d’entreprise, notamment en interrogeant leurs responsables.
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Résumé des résultats (Abstract)
(Allemand)
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Die Ergebnisse zeigen, dass die Geschäftsmodelle der sechs Arbeitsplattformen, die sich am Projekt beteiligt haben, vielfältig sind.
Aus wirtschaftlicher Sicht haben die Autoren vier unterschiedliche Typen von Geschäftsmodellen ermittelt. Die meisten dieser Modelle sind noch mit Rechtsunsicherheiten behaftet. Die Unsicherheiten, die sowohl den Status der Arbeitnehmenden der Plattform (angestellt vs. selbständigerwerbend) als auch die Funktion der Plattform (Vermittlerin, Arbeitgeberin, Personalverleiherin) betreffen, können ihre Funktionsweise in Frage stellen.
Die Merkmale der über die untersuchten Plattformen ausgeführten Arbeiten sind homogener: Meistens handelt es sich um Teilzeitarbeit als Nebentätigkeit, die im Allgemeinen nach relativ strengen Anweisungen der Plattform ausgeführt wird, die den Preis der Dienstleistungen weitgehend bestimmt und als Qualitätskontrolle ein System zur Bewertung der Dienstleistungen durch die Kunden organisiert. Keine der befragten Plattformen garantiert ihren Dienstleistern ein Mindestauslastung; sie tragen das Auslastungsrisiko, unabhängig davon, ob sie Angestellte oder Selbständige sind.
Nach ihren Erwartungen befragt, wünschen sich die Plattformbetreiber einerseits Vereinfachungen im administrativen Bereich und andererseits eine flexiblere Handhabung des Sozialversicherungsrechts.
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Résumé des résultats (Abstract)
(Français)
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L’étude, qui a examiné six plateformes de travail actives en Suisse, a répertorié quatre modèles d’affaires différents.
Elle montre que les modèles d'affaires des plateformes de travail sont multiples et pour la plupart encore empreints d’incertitudes juridiques. Ces incertitudes, qui portent autant sur la question du statut des travailleurs de la plateforme (salarié ou indépendant) que sur la fonction de la plateforme (intermédiaire, employeur, bailleur de services de l’emploi), peuvent remettre en cause leur fonctionnement.
Les caractéristiques du travail effectué via les plateformes étudiées sont plus homogènes : il s’agit le plus souvent d’un travail effectué à temps partiel, en tant qu’activité accessoire, effectué en général en suivant des instructions relativement strictes de la plateforme, laquelle détermine largement le prix des prestations et organise un système d’évaluation des prestations par les clients en guise de contrôle de qualité. Aucune des plateformes étudiées ne garantit une activité minimale à ses prestataires, ce sont eux qui supportent le risque de fluctuation des affaires, qu’ils soient salariés ou indépendants.
Interrogés sur leurs attentes, les exploitants des plateformes souhaitent, d’une part, une simplification des questions administratives et, d’autre part, un assouplissement de l’application du droit des assurances sociales.
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Publications / Résultats
(Allemand)
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