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Forschungsstelle
DEZA
Projektnummer
7F-02582.04
Projekttitel
ICAR - Int. Centre for Asset Recovery 2011-2013
Projekttitel Englisch
ICAR - Int. Centre for Asset Recovery 2011-2013

Texte zu diesem Projekt

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Schlüsselwörter
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Kurzbeschreibung
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Projektziele
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Erfasste Texte


KategorieText
Schlüsselwörter
(Französisch)
ICAR
Corruption
détournements de fonds
recherche et developpement
Kurzbeschreibung
(Französisch)

Les problèmes posés par la corruption et les détournements de fonds, pour les pays en développement, ne sont plus à démontrer. Il existe une multitude d’initiatives dans ce domaine. Mais dans le domaine précis du blocage et de la restitution de capitaux, la communauté internationale a reconnu depuis relativement peu de temps l’urgence et la nécessité d’agir. Ainsi, le chapitre V de la Convention de l’ONU contre la corruption est dédiée à ce problème ; dernière en date, la Banque mondiale a lancé cette année la Star Initiative « Stolen Assets Recovery Initiative » en collaboration avec l’ONUDC.

L’ICAR, créé en 2006, commence à récolter les fruits d’un long travail de relations publiques et de rassemblement de compétences internationalement reconnues. Ainsi, depuis la dernière proposition de crédit, l’ICAR a réussi à avoir à son bord le DfID avec une contribution pour trois ans, sous forme de financement d’un « secondment ». La GTZ finance également des projets spécifiques. Plusieurs formations ont été dispensées ou sont en cours d’élaboration. Des cas de consultance lui sont également soumis.

Projektziele
(Französisch)

Objectifs spécifiques relatifs au contenu de l’activité de l’ICAR:

  1. Formations : réalisation de formations au niveau national ou régional, adaptées aux besoins locaux, données par une série d’experts de l’ICAR, du BIG et, au besoin, externes. Ces formations sont réalisées toujours sur demande des pays concernés.
  2. Travaux de consultance sur des cas précis, sur demande de certains pays. Actuellement, deux pays africains ont fait des demandes.
  3. Recherche et développement: en étant membre de différents réseaux et associés étroitement à d’autres institutions actives sur le sujet, l’ICAR a la possibilité de livrer un travail d’expert. La proximité avec l’université de Bâle, ses professeurs et doctorants permettent à l’ICAR d’évoluer dans un univers de recherche.
  4. IT : l’ICAR continue de développer un « centre de connaissances » sur le sujet de la restitution des avoirs, en créant une bibliothèque accessible en ligne.