La protection physique des sols sur les chantiers de construction requiert, par ordonnance fédérale (OSOL), de mesurer l’état hydrique du sol avec un tensiomètre avant d’autoriser le passage des engins lourds ou la manipulation. Seuls les tensiomètres à bougies poreuses permettent une mesure directe et exacte du potentiel hydrique du sol ; leur principal inconvénient est la fragilité de la bougie de céramique, et la difficulté pour l’utilisateur de voir si cette bougie est encore en bon état.
Dans ce projet, la bougie de céramique est remplacée par une pièce poreuse conique en inox fritté, ce qui devrait permettre de réaliser un tensiomètre incassable.